Avec la pandémie du Coronavirus, l’humanité vient d’entrer dans une nouvelle phase de son histoire, celle où l’on aura du mal à ne pas aboutir à la dépendance aux vaccins, à la recherche scientifique, et donc au contrôle du monde par des firmes et laboratoires. Cela fait un an que la maladie à Corona virus paralyse l’Humanité toute entière. Les échanges et les économies ont diminué, les habitudes ont changé et tous les regards rentent braqués vers les firmes pharmaceutiques et les laboratoires pour une solution aux vaccins.
Pfizer, Johnson & Johnson, BioNTech, Moderna, AstraZeneca, CureVac, pour ne citer que ceux-ci, se sont jetés depuis les premiers signaux de la pandémie à la course aux vaccins qui sauveront le monde. Derrière cette frénésie, le jackpot à remporter. L’idéal de chaque firme et laboratoire étant d’être seul sur le marché. Mais rien ne s’est fait comme tel. Le gâteau des entrées issues de la mise à disponibilité d’un vaccin homologué par l’Organisation Mondiale de la Santé sera partagé avec plusieurs. Les humains se voient donc ainsi devenus des rats de laboratoire à qui l’on inocule des vaccins dont personne ne connait réellement des effets néfastes à long et moyen terme. Pire encore un vaccin instable contre une maladie dont on n’a pas fini de cerner les effets sur l’humain.
Sous le prétexte que l’urgence est signalée, qu’il y a des millions de morts sur le carreaux en Europe, aux Etats-Unis et ailleurs, des gouvernements petit à petit sont en train d’épouser la logique voulue et savamment distillées par ceux qui ont tout à gagner dans la vaccination massive des citoyens partout dans le monde. On parle de plus la moitié de la terre, soit près de 5 milliards d’êtres humains, en deux doses, soit 10 milliards de vaccins à commander aux laboratoires.
Des vaccins à la puissance ?
On assiste ainsi impuissamment à l’âge d’or des laboratoires qui, je le pense, va aboutir à leur véritable contrôle du monde pour un temps plus ou moins long. En effet, la reprise économique dans sa globalité ne jure que par l’efficacité des vaccins proposés. Mais les enjeux géopolitiques et géostratégiques autour des vaccins contre la Covid-19 sont si grands qu’au finish, ne pas en avoir pour tous, ou pour une partie du monde, voire la qualité même de certains vaccins, font craindre le pire aux humains. La Covid-19, ayons le courage de le dire, est entrain de vider une certaine classe d’individus de la terre : vieillards, malades avec comorbidité, et tous ceux qui pèsent sur les dépenses des Etats sans rien en rapporter en retour.
Une fois ce tamis fait, au vaccin de faire soit des individus solides de santé, soit des mauviettes à la solde des médecins et ingénieurs sanitaires ? Une chose est sure, le monde que nous avons connus ne nous reviendra pas d’aussitôt. La santé, les gestes barrières et leurs implications dans nos habitudes de voyage, de déplacement et des rencontres seront chaque jour à renouveler, et ce sera les laboratoires et firmes pharmaceutiques les grands gagnants de ce nouveau monde. D’ailleurs, il est inutile de rappeler ici la cagnotte déjà encaissée par ces firmes, dont certaines ont réussi à exister en seule pourvoyeuse de vaccins. Un quasi-monopole bien accepté dans certains Etats depuis quelques mois.