Google Russie en faillite : Alphabet émet sa volonté de déposer le bilan
Google Russie en faillite. L’opération militaire spéciale russe en Ukraine fait une nouvelle victime. Et pas des moindres. Google Russie, la filiale du géant américain de l’intérêt Alphabet dépose le bilan. Réalité créée par des désaccords entre lui et les autorités de la Fédération de Russie. Quelques pistes de compréhensions nous sont données par le journal Forbes. (LIRE AUSSI : Alert Ukraine : Google Adsense suspend ces contenus de la monétisation).
Selon le journal en ligne Forbes, Google Russie est « contrainte de déposer le bilan après la saisie de son compte bancaire par les autorités russes. » Cependant pour énoncer sa volonté de vouloir rester malgré tout, le porte-parole de Google dans un communiqué a déclaré que « Les Russes comptent sur nos services pour accéder à des informations de qualité ». Une volonté de la société de maintenir YouTube et d’autres services en activité.
Google Russie contre le feu russe
Simple orgueil monopolistique ou erreur d’analyse sur les enjeux des événements qui se déroulent en Europe de l’Est ? La réponse est simple. Les autorités russes cessent de donner des avertissements quant au refus de la Silicon Valley de se plier aux directives de Moscou. Pour ce qui concernent les informations que la firme doit laisser disponibles sur son site. (LIRE AUSSi : Google dit non aux droits voisins et rend sa meta-description optionnelle).
« En mars dernier, Google a supprimé toute publicité en Russie. En outre, le géant d’Internet a interdit les chaînes YouTube des médias russes contrôlés par le Kremlin dans le monde entier et a refusé de retirer de YouTube les informations sur la guerre jugées illégales en Russie. » Rien n’est donc étonnant que Google soit devenu l’ennemi au sens plein du mot de la Russie. (LIRE AUSSI : Voici pourquoi Dmitri Medvedev ironise sur la visite de Macron en Ukraine).
Pression sur Wiki
On a l’impression, toute analyse faite sur les productions et la gestion de l’information occidentale, que depuis le début de ce conflit, les médias anciens et nouveaux d’Europe, d’Amérique et des pays de l’UE et l’OTAN, choisissent le camp anti Russie. Ceci au mépris de la rectitude morale et le rendu sans parti pris de l’information. Un autre site américain est sur l’objectif des Russes. C’est le géant Wikipédia qui « refuse », selon Forbes, de stopper la propagande ukrainienne dans le contenu de ses collaborateurs.
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