Cameroun : Les noms des journalistes à gage contre Samuel Eto’o
Les noms des journalistes à gage contre Samuel Eto’o sont connus, leurs médias aussi, ils sont les mêmes à nous servir ce réchauffé à chaque élection, décidé a perdre une partie du peuple loin des analyses structurées, logiques et utiles. Ils encensent les ministres et DG qui paient bien, quoique le service publique ne soit pas la priorité de ces derniers. Dans la lutte de pouvoir qui se joue au sein du football camerounais, reflet de la nuit de longs couteaux commencé il y à quelques temps au sein même du pouvoir politique de ce pays, un seul homme concentre actuellement les efforts et le génie malin de presque toute la classe politique camerounaise. Qu’ils soient du pouvoir ou non, ce qu’est devenu Samuel Eto’o les dérange et fait peur. Il serait temps pour eux de s’en charger, pensent-ils alors. (LIRE AUSSI : Samuel Eto’o répond à ses ennemis ce 24 août 2023).
Si le fils de David Eto’o reste à ce jour le Camerounais le plus adulé, aimé, célèbre et célébré, toutes activités mises en commun, il n’en demeure pas moins qu’il ait la tête de celui sur qui repose des plus gros contrats de liquidation de carrière. Pour beaucoup de caciques du régime et les perdus cachés dans l’opposition fantoche, la proximité avec la famille dirigeante gêne. Samuel Eto’o a ses entrée au Palais présidentiel, il parle avec le président à tout grand souci qui se présente à lui. Les portes lui sont ouvertes par Mme Biya et aussi par la fille du PRC, Si cela n’est pas par ceux qui murmurent à l’oreille du président de la République. On dirait même que des camps se créent, se recréent ou se forment selon qu’on soit avec lui ou hors de son espace.
Les noms des journalistes à gage contre Samuel Eto’o
La crise entre le Minsep et la Fécafoot vient de prendre une nouvelle tournure ce mardi, 4 mai 2024 avec des Une de la presse écrite et cybernétique titrées pareille, qui sentent la consigne et la chasse à l’homme. Depuis quand 10 rédactions peuvent-elles avoir la même Une libellée et écrite de la même manière ? Parfois avec la même description en-tête ? Avant ce jour, il y eut la rédactrice en chef du plus grand quotidien du Cameroun, journal à capital public, qui a pris une mise à pied pour avoir validé une Une n’ayant pas plus au Ministre des sports et de l’éducation physique et les ministres dans son camp. La Une affirmant que « Minsep/Fécafoot : le chef de l’État siffle la fin » lui a valu le courroux de sa hiérarchie.
Mis ensemble avec la tiraille d’une certaine presse à gage, détenue sûrement par les pontes du régime, il est à nous le peuple de comprendre être loin du journalisme mais plutôt proche d’une littérature engagée contre un homme qui gêne. Pour avoir ces noms, il faut juste lire ces Une et savoir qui en sont les directeurs de publication, pour connaître les commanditaires. mais si l’exercice est fastidieux, on sait qui en est le commanditaire. Ils sont au Cameroun et à l’étranger, cachés dans les médias jadis réputés meilleurs sur le continent mais qui sont à ce jour des soldes journalistiques à la recherche du gagne-pain permanent par la plume, malheureusement approximative et à gage. La même presse qui nous servira la même envie de désinformer et de détruire aux prochaines élections de 2025.
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