Les forces alliées de l’AES mettent les terroristes en déroute
Les forces alliées de l’AES se sont mis en commun contre les terroristes dans le Sahel. Le Mali a vu cette semaine les forces du Burkina Faso lui venir en renfort contre les terroristes dans le Sahel. Une concrétisation de la charte de Liptako Gourma qui a donné naissance à l’Alliance des États du Sahel, puis à la Confédération de l’AES. Curieusement les terroristes sont les premiers à crier à l’ingérence du Burkina dans les affaires maliennes en faisant fi de tous les traités signés jusqu’ici entre les deux États. ( LIRE AUSSI : Joe Biden renonce à un nouveau mandat à la maison blanche : Kamala Harris en pôle position.
L’armée malienne a annoncé avoir mené des frappes aériennes à Tinzaoutene en coordination avec les forces armées burkinabè dans le cadre de la solidarité entre les États membres de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES), a indiqué mardi soir l’état-major général des armées du Mali dans un communiqué. Selon son communiqué, « le vendredi 26 juillet 2024, les combats ont doublé d’intensité, les groupes armés terroristes regroupés dans une coalition opportuniste comprenant l’EIGS [État islamique du Grand-Sahara] et le GSIM [Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans] ont lancé plusieurs véhicules kamikazes contre les FAMa (Forces armées maliennes) ».
L’exemple des forces alliées de l’AES
Depuis avènement de la Confédération AES, les combats sont devenus plus intenses et les terroristes bien plus armés que par le passé. Leur commanditaires semblent également décidés à une guerre tous azimuts contre l’AES. Selon le Communiqué malien : « Les FAMa en coordination avec les Forces armées du Burkina ont débuté, ce mardi 30 juillet 2024, une campagne aérienne dans le secteur de Tinzaoutene […] cette campagne vise à sécuriser les personnes et les biens dans la localité de Tinzaoutene et ses environs, contre la coalition de terroristes auteurs d’exactions, d’abus, de trafics illicites contre les populations maliennes ».
Il est question ici de faire remarquer que la mise en action de la charte de Liotako Gourma est un exemple de ce qui peut et doit se faire dans toute l’Afrique pour arriver à une paix concertée. Cela doit être perçu ainsi au sein même de l’Union Africaine. Malheureusement, l’UA est une institution contrôlée par ceux-même qui financent les terroristes et s’enrichissent dans cette déstabilisation du Sahel.
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