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Douala : nouvelles restrictions pour les moto-taxis : Bonapriso, Bali

À Douala, le préfet du Wouri, Sylyac Marie Mvogo, élargi le rayon des restrictions pour les moto-taxis après le meurtre de Pierrot Missè agressé par trois individus à bord de ces engins à deux roues. Une bande à motos armée de poignards dans la ville de Douala.

Outre Bonanjo qui n’acceptait plus les engins à deux roues, sauf personnels autres que pour le transport, depuis plus de 3 années déjà par interdit complète viennent s’ajouter de nouvelles restrictions pour des moto-taxis, partielles pour Bali et Bonapriso.

Cependant réitérée dans la décision préfectorale, « est interdite, (…) la circulation des motos-taxis dans le quartier dénommé Bonanjo ». Mais résiste la question de l’efficacité d’une telle mesure lorsqu’on sait que dans les taxis de la ville l’on vous dépouille tout votre bien en pleine journée alors que le taxi continue à faire le tour de la ville.

Des rrestrictions pour les moto-taxis pour qu’elle efficacité ?

Par un arrêté du 13 août 2024, le préfet du Wouri décide une restriction partielle de l’exercice des activités des moto-taxis à Bonapriso et Bali entre 18 heures et 06 heures du matin. « Pour ce qui est des quartiers Bonapriso et Bali, la circulation des motos-taxis est interdite de 18 heures du soir à 06 heures du matin », précise l’arrêté. Les contrevenants s’exposant à la saisie et à la mise en fourrière de leurs motos.

Les nouvelles restrictions pour les moto-taxis dans la ville de Douala est un moyen comme un autre pour cette autorité de redonner confiance aux populations terrorisées depuis quelques temps par des bandes de jeunes qui attaquent par groupe de pauvres citoyens. Cependant il est clair qu’il faut des mesures de surveillance beaucoup plus efficaces qu’une seule interdiction de circuler dans la ville.

Cette ville, et ces quartiers suscités disposent d’une couverture en matière de surveillance vidéo à même de mettre hors de nuire ces bandes de jeunes drogués surnommés « microbes ». Il faut aussi regarder du côté des mairies pour que la ville soit illuminée les nuits. Un autre point sombre dans ce besoin de protéger que l’on ne peut nier au préfet du Wouri.


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Simon Ngaka

CEO et rédacteur en chef de Saimondy, journaliste et analyste géopolitique, écrivain et éditeur, artiste-musicien et interprète, Producteur de musique. En 2009, il créé le label Saimondy.

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