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Fernand Lopez avoue avoir giflé son ex-compagne

Après sa victoire samedi soir au Zénith de Paris sur Jordan Zebo, Cédric Doumbè a fait une sortie mettant en lumière un cas de violence conjugale de son ancien mentor Fernand Lopez. « Ce n’est pas Jordan que je voulais mettre K.-O., c’est celui qui frappe sa femme qui a pris ce K.-O, avait-il assuré, lui l’ancien pensionnaire du MMA Factory. Je me suis dit que c’était le bon moment pour que les gens comprennent pourquoi j’ai quitté cette salle, pourquoi je n’aime pas cette personne. »




Et d’ajouter : « J’ai fait un spot de sensibilisation contre les violences faites aux femmes. Frapper une femme, c’est quelque chose d’insensé. Je l’ai vécu au téléphone en live et j’ai appelé la police qui est intervenue. C’est facile de vérifier. » dixit Cédric Doumbè. ». Pointé du doigt, le boss de MMA Factory a donné une interview à un journal français dans lequelle il avoue avoir giflé son ex compagne avec qui il a fait un enfant. Nous mettons ici quelques lignes de cette interview pour votre propre jugement (LIRE AUSSI :Charlotte Dipanda dit oui à Fernand Lopez dans un avion).

Angle d’attaque de Fernand Lopez

« J’ai passé une nuit horrible, avoue Lopez. Mon ex a demandé à Cédric d’arrêter de parler d’elle en public. On essaie de reconstruire une vie de coparentalité et une personne vient se mettre au milieu, en donnant l’impression qu’il lutte contre les violences conjugales. […] Oui, il faut pointer du doigt les violences conjugales, mais pas quand la justice a déjà fait son job […] La déclaration de Cédric Doumbè n’a pas pour but d’aider la cause féminine. Cela fait cinq ans qu’il continue d’écrire à mon ex alors qu’elle veut qu’il arrête de parler de moi. Quelqu’un qui veut marquer le coup avec des déclarations à l’emporte-pièce, c’est dangereux. »




Et d’ajouter pour clôturer cet épisode malheureux dans sa vie : « Il ne se rend pas compte qu’il détruit des tissus familiaux. […] Je serai qualifié comme quelqu’un de violent pour le reste de mes jours. Il n’y a pas plus lourde condamnation que celle que je me suis infligée à moi-même, celle d’avoir été un homme qui a été violent avec sa femme. On se sent comme une merde. […] J’ai été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales il y a 5 ans, explique-t-il. Je veux préserver ma famille, j’ai une petite fille de 7 ans avec mon ex, c’est dur pour elle. J’ai une autre fille de 11 ans. Un jour, j’ai commis ce geste. Le geste que je regrette le plus de toute ma vie. J’ai levé la main sur mon ex-conjointe, une gifle, ça a été une catastrophe. »

Avec L’équipe, journal

Simon Ngaka

CEO et rédacteur en chef de Saimondy, journaliste et analyste géopolitique, écrivain et éditeur, artiste-musicien et interprète, Producteur de musique. En 2009, il créé le label Saimondy.

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