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Cameroun : pannes Internet : des questions qui fâchent

Encore de nouvelles pannes d’Internet au Cameroun, plusieurs en un seul et même mois d’avril 2024. En moins d’un mois, les Camerounais se sont vus être privés d’internet sans qu’une raison claire leur soit donnée, ou du moins sui soit valable. La panne des dégâts sur la fibre optique de Camtel, l’entreprise nationale qui fournie des DATA à MTN et Orange, deux autres entreprises Fournitrices d’Accès Internet (FAI) dans ce pays, semble ne plus convaincre personne.




On peut tolérer la panne d’il y a une dizaine de jours lorsque META avait subi une grosse panne mondiale empêchant l’accès à ses services, cependant cela devient récurrent cette instabilité du côté des FAI privés. Seuls des messages parfois sans aucune explication acceptable ni excuses font comprendre aux clients que ce ne sont pas leur terminaux à eux, fixes ou portatifs, qui sont en panne mais que cela vient du fournisseur des services de télécommunications. Oubde Camtel. Ce 14 mars, certains Camerounais se sont vus privés d’accès Internet bien même qu’ils avaient leur solde bien fourni en Giga octets (×Go).

Panne d’Internet des Pannes Internet ?

Pour des Camerounais friands de la théorie du complot, la privation est une commande du pouvoir en place, mieux des barons du régime de Paul Biya qui son dans une énieme opération de trafic de ce que personne ne sait. Pour d’autres encore, quelque chose se passe à Étourdi, au Palais de l’Unité, le Palais présidentiel. La palme revient aux lanceurs d’alerte et journalistes qui, en de pareilles situations, se passent des coups de fil de vigilance, guettant la moindre information, activant toutes les sources introduites dans les ministères, au Sénat et dans tout le parlement, au premier ministère jusqu’à la Présidence de la République.

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Ils étaient même près à demander au PRC ce qui ne pas avec la fibre optique.Des pertes, on en compte dans la longue traîne de l’économie camerounaise puisque toutes les entreprises n’ont toujours pas la solution de l’Intranet. Et même, si elles en possèdent, que dire des échanges à distance, de l’immobilisation de ceux qui ont bâti la source de leurs revenus dans le terroir des Réseaux sociaux ? Des transactions par la solution de paiements par mobile ou des vies à sauver via l’utilisation d’internet ? En 2024, l’arrêt d’internet doit être évalué clairement en pertes financières, des vies dans des centres hospitaliers, des libertés dans le cadre de la justice ou de l’instruction d’une affaire, de la quiétude pour un membre de famille sans nouvelle des siens, etc. Regardons plus loin, des questions qui fâchent sont nombreuses et doivent pousser le gouvernement à ne plus se prélasser dans l’insouciance.et l’impunité. (LIRE AUSSI : Il y avait quoi avant de Richard Bona : mais c’était comment avant ?).

Simon Ngaka

CEO et rédacteur en chef de Saimondy, journaliste et analyste géopolitique, écrivain et éditeur, artiste-musicien et interprète, Producteur de musique. En 2009, il créé le label Saimondy.

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